Rassemblement policier devant l'hôpital Saint-Louis mardi 18 octobre, en soutien à leur collègue toujours hospitalisé.
Ils cachent leurs visages pour éviter d'être identifiés par leur hiérarchie.
Ils cachent leurs visages pour éviter d'être identifiés par leur hiérarchie.
Trois jours après, et pour la cinquième nuit consécutive, les policiers en colère se rassemblent de nuit en soutien à leurs collègues hospitalisés, et demandent plus de moyens au ministère de l'intérieur.
Rendez-vous donné vendredi 21 octobre sur le parvis de Notre Dame. La manifestation s'est dirigée à la mairie du 4ème arrondissement avant de se disperser Place de la Bastille.
Il est à noter qu'aucun dispositif de sécurité n'encadre cette manifestation sauvage.
Aux alentours de l'Hôtel de ville quai de Gesvres, deux hommes sont arrêtés par la police après une courte provocation.
Rendez-vous donné vendredi 21 octobre sur le parvis de Notre Dame. La manifestation s'est dirigée à la mairie du 4ème arrondissement avant de se disperser Place de la Bastille.
Il est à noter qu'aucun dispositif de sécurité n'encadre cette manifestation sauvage.
Aux alentours de l'Hôtel de ville quai de Gesvres, deux hommes sont arrêtés par la police après une courte provocation.
La situation devient étrange, car l'arrestation se fait par des hommes en service, et d'autres venant de la manifestation, qui eux ne sont pas en service et restent cagoulés...




Environ 500 policiers se rassemblement devant le parvis de Notre Dame.

Un camion de police passe, le V de la victoire à la fenêtre en soutien aux collègues.


Départ de la manifestation sauvage vers la mairie du 4ème arrondissement.


Deux jeunes hommes sont arrêtés après une courte provocation envers la police.


Le jeune homme crie qu'il n'a rien fait, sous le regard d'un manifestant cagoulé.

Face à face tendu entre le jeune homme et le policier cagoulé...

Les manifestants rencontrent des collègues en service et les applaudissent.

Arrivés à la Place de la Bastille, les manifestants entonnent la Marseillaise.
